Sullivan Ϟ What doesn't kill you make you stronger.

**MESSAGES :** 34 **HUMEUR :** Perdu.

© TUMBLR
SULLIVAN MCBERRY
~ Don't worry. Be Happy. ~

~ Hide in your shell

NOM: Mcberry. PRÉNOMS: Sullivan. SURNOMS: Sully. ÂGE: 19 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE: Né à Fairview, le 16 juin. NATIONALITÉ: Américain. STATUT CIVIL: Célibataire. MÉTIER/ETUDE: Dernière année de lycée TRAITS DE CARACTÈRE: Drôle ; possessif ; jaloux ; souriant ; dragueur ; fêtard ; bosseur ; optimiste ; audacieux ; joueur ; franc ; déterminé. GROUPE: Wisteria Lane.

~ Ain't nobody but me

Les choses suivantes sont importantes pour vous (cochez):
la franchise
l'amour
la fidélité
la vie commune
fonder une famille
aider son prochain
l'alcool/les soirées
les animaux
le plein air le mariage
savoir cuisiner
la beauté intérieure
l'argent
les potins et ragots
la musique
belle/grande maison
le travail/les études
la mode
la littérature/culture
les arts
beaucoup d'amis
la politique
les jeux vidéos
facebook/twitter etc.
l'apparence physique
la famille
les sports

1) Il est tard, vous rentrez du boulot après avoir dû faire des heures supplémentaires, et vous surprenez Madame Langlow qui sort d'une voiture qui n'a rien de la voiture familiale de son mari et le sourire béat qui s'affiche sur ses lèvres ne laisse pas présager qu'elle revient d'un souper entre copines. Que faites-vous de cette information?
Vous ne faites rien. Ça ne vous regarde pas, après tout.
Vous en parlez à vos amis les plus proches uniquement.
Vous le dites à la pire commère du quartier. Elle s'occupera du reste.
Vous faites du chantage à Mme. Langlow. Elle vous en devra une.
Vous allez raconter à son mari et vous régalez de la confrontation.

2) La gentille vieille dame qui vit dans la maison d’en face vient sonner à votre porte un beau matin. Ayant confiance en vous et devant s’absenter pour une semaine avec son mari, elle vous demande de bien vouloir passer tous les jours à leur domicile pour arroser les plantes et nourrir le chat. Elle vous offre avec un sourire et un grand remerciement la clef de sa maison. Que faites-vous de cette responsabilité supplémentaire?
Vous acceptez et prenez soin du chat et des plantes de bon cœur.
Vous arrosez les plantes uniquement à quelques heures de leur retour et laissez le chat dehors durant la semaine, il se débrouillera pour la nourriture et les plantes n’auront pas l’air desséchées!
Vous le faites et en profitez pour explorer tous les placards de la maison et vous servir dans le garde-manger.
Vous oubliez dès le premier jour et tuez les plantes.
Vous refusez dès le départ. Vous avez l’air d’un jardinier, peut-être?

3) Vous êtes en retard pour un rendez-vous important et sautez dans votre voiture. Alors que vous quittez votre stationnement, vous écrasez quelque chose. Paniqué, vous vous empressez d’aller voir ce que c’était. Vous trouvez la bicyclette rose de la gamine d’en face. Perte totale. Que faites-vous?
Vous ramenez le tas de ferraille aux voisins en vous excusant.
Vous le balancez dans la poubelle. Les éboueurs passent bientôt et on ne saura donc jamais que c’était vous.
Vous offrez de l’argent aux voisins pour le remplacer.
Vous allez le porter derrière les roues de la voiture d’un autre voisin.
Vous assumez être celui qui a brisé la bicyclette, mais faites passer un mauvais quart d’heure à vos voisins : il n’aurait jamais dû être là et ils sont chanceux que votre voiture n’en sorte pas abimée!

4) C’est le 31 octobre. Que faites-vous, comme à chaque année, pour célébrer Halloween?
Vous offrez bonbons et divertissement aux braves qui franchiront votre célèbre maison hantée!
Vous donnez des fruits aux enfants. C’est important de manger sainement!
Vous êtes à une fête costumée et espérez bien repartir avec la belle diablesse/le beau pirate qui se tient près du punch!
Vous vous costumez et passez à chaque maison, priant qu’on ne vous reconnaisse pas sous votre déguisement.
Vous éteignez toutes les lumières et ne faites aucun bruit. On ne viendra pas sonner à votre porte si on vous croit absent!

5) Un soir de semaine, vous êtes crevé de votre journée et ne pensez qu’à vous détendre un peu devant la télévision, bol de pop corn en main, avant d’aller vous mettre au lit. Vous entrez dans le salon et, ô malheur, un de vos proches monopolise le téléviseur en regardant un film que vous avez, en plus, déjà vu! Comment réagissez-vous?
Ce que vous regardez vous importe peu. L’important c’est de passer du temps avec vos proches.
Vous proposez de trouver un compromis, une chaîne ou un film que tout le monde appréciera.
Vous vous emparez de la télécommande avec force ou ruse et changez de chaîne.
Vous regardez, mais ne faites que faire des réflexions à voix haute et spoilez les revirements de situation.
Vous poussez de longs soupires et bâillements exagérés pour montrer votre ennui et votre exaspération. On finit par vous offrir la télécommande.

6) Vous êtes invités au mariage d’une cousine éloignée dont vous ne vous souveniez même plus de l’existence. Vous n’aviez pas l’intention d’y aller, mais votre mère vous force, croyant que votre absence ferait ternir la réputation de votre famille. Quel genre d’invité êtes-vous?
Vous avez versé quelques larmes à la cérémonie. Quoi de plus beau que l’union sacrée du mariage?
Vous êtes venu seul, espérant bien repartir avec une des demoiselles d’honneur/un des garçons d’honneur!
Vous profitez à fond de l’open bar et dansez la Macarena avec vos grands oncles et tantes.
Vous profitez du fait que vous ne reconnaissez personne – et que personne ne vous reconnaisse – pour vous faire passer pour une vieille connaissance du marié et faites un long discours en l’honneur des mariés.
Vous restez à l’écart des autres et n’avez pas offert de cadeau. C’est déjà exceptionnel que vous soyez présent!

7) Comme vous le savez déjà, à Fairview, les ragots vont bon train. Vous sortez de votre maison et le voisin d’en face qui sort les ordures vous envoie la main. Une vieille commère vous voit vous saluer et, d’ici une semaine, on chuchotera derrière votre passage que vous flirtiez sans gêne. Quel est la rumeur la plus susceptible d’être propagée à votre sujet?
Vous êtes trop gentil. Vous devez cacher un lourd passé. Crime, prison, etc. Vous pourriez même être très dangereux!
Adultère et pourquoi pas un enfant illégitime?
Chirurgie esthétique. Nez, lèvres, sourcils, dentition et mêmes abdos!
Fraude/évasion fiscale et peut-être même une usurpation d’identité!
Gold digger. Il n’y a que l’argent que vous aimez et vous seriez prêt à tout pour en avoir plus...

~ Dreamer

▲ Sullivan a toujours assumé son homosexualité. Cependant, il déteste les stéréotypes sur les gays. Les manières trop exagérées et efféminées, non merci. ▲ Il ne supporte pas le sport - à part le sport de chambre - et a toujours eu une moyenne de sport merdique en cours. ▲ Pourtant, à part ça, il frôle la perfection en cours et a d'excellents résultats. ▲ Le jeune homme est aimé de tous. Il se contente d'être lui même et il faut croire que ça paye. Cependant, le fait qu'il ne soit jamais en train de colporter des rumeurs - ni même d'y prêter attention - doit jouer énormément en sa faveur. En effet, il n'aime pas ça et pense que chacun doit mener sa vie comme il l'attend. ▲ Il n'a pas un très gros appétit. En revanche, il boit beaucoup. Ça peut aller jusqu'à une bouteille de soda ou d'eau entière par jour. ▲En soirée, il est du genre à mettre l'ambiance. Il est toujours le premier à aller sur la piste de danse, il n'a pas besoin de boire d'alcool pour se lâcher. ▲ Lorsqu'il veut quelque chose - ou quelqu'un -, il est prêt à faire tout ce qu'il faut pour l'avoir. ▲Il a beaucoup d'expérience en ce qui concerne l'amour - ou le sexe plutôt -. En effet, il n'a jamais réussi à trouver LA personne qui lui donnerait envie de se poser. ▲Il milite pour les droits des homosexuels depuis ses 15 ans. ▲Sullivan arrive facilement à comprendre les gens et surtout leurs problèmes. Il lit facilement en eux.

~ goodbye stranger

PSEUDO/PRÉNOM: Laura. ÂGE: 17 ans. COMMENT CONNAIS-TU FML: Via bazzart. CÉLÉBRITÉ: Louis Tomlinson. COMMENTAIRES: I love you

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**MESSAGES :** 34 **HUMEUR :** Perdu.

~ Crime of the Century

« Maman .. J’aime les garçons. » lança l’adolescent d’à peine 13 ans, laissant un léger silence s’installer. Il semblait si sûr de lui, malgré son jeune âge. Cela ne surprit pas vraiment sa mère ; il avait toujours été du genre à déshabiller les actions man par exemple. Du genre à parler de façon très - trop - positivement de ces camarades de classe masculins, qu’il trouvait si beaux et attirants. Elle se demande si cela était due à l’absence de présence masculine au sein du foyer. Après tout, cela ne devais pas avoir aidé le jeune homme à grandir correctement. Enfin, en parlant de cela, elle pensait aux discussions normales qu’un père et un fils devaient avoir, sur la vie, sur les premiers émois. Il n’avait pas eu le droit à tout ça parce que son père a préféré se barrer avec sa secrétaire lorsqu’il avait 6 ans. Depuis, plus de nouvelles. Bref, la ménagère posa son saladier sur le plan de travail avant de se tourner vers son fils, lui ébouriffant tendrement les cheveux, un sourire bienveillant aux lèvres. « Je t’aime comme tu es. » avait-elle murmuré doucement. Elle était probablement l’une des femmes les plus douces et les plus gentilles vivant à Fairview. Elle était bien loin des commérages et ragots en tout genre. Non, ça ne l’intéressait pas. Ce qui la préoccupait était son fils et pas les affaires des autres. Point. Soulagé, Sullivan étreignit sa mère avec amour, avant de tourner les talons pour aller jouer avec ses camarades qui attendaient patiemment son retour parmi eux.

« Rends toi à l’évidence Sulli .. Il doit être mort à l’heure actuelle, ça fait déjà six mois .. » « TAIS TOI, TAIS TOI, TAIS TOI ! » hurla-t-il désespérément à son beau père. Il n’avait pas pour habitude de lui parler comme ça. Au contraire, depuis son arrivée dans la famille, Sullivan s’entendait particulièrement bien avec Christoper, son beau père. Il rendait heureux sa mère alors que demander de plus ? Mais là, c’était trop. Depuis la disparition de Luan, Sulli continuait à espérer son retour. Il espérait qu’il vienne frapper chez lui, lui dire que tout ça n’était qu’une erreur, qu’il n’avait pas disparut, qu’il était juste parti s’aérer l’esprit. Qu’il le serre contre lui, qu’il l’embrasse. Il voulait juste sentir sa présence à ses côtés, c’était tout. Mais au fil des mois, son espoir diminuait. Actuellement, il était aussi vacillant que la flamme d’une bougie. Entendre ces mots de la bouche de son beau-père .. C’était trop, il ne pouvait pas le supporter. Il se recroquevilla sur son lit, sentant les larmes monter à ses yeux. Soudain, il sentit des bras l’entourer et le serrer. Et, soudain, Sullivan déposa les armes. Il se laissa aller, s’appuyant contre son beau père, anéanti. « Il est mort .. » murmura-t-il. Il répéta cette phrase deux fois, avant de se taire, sa voix étant étouffée par des sanglots trop nombreux. L’espoir était mort. Il pensait que Luan ne reviendrait plus jamais, qu’il avait péri. Il se rappelle encore de ce soir là. C’était un vendredi du mois de janvier. Il n’avait encore jamais ressenti de peine plus immense que ce jour là.

« Tu es allé le voir ? » demanda Lizzie, la mère de Sullivan. Il secoua la tête négativement. Non. Non, il ne pouvait pas aller le voir, le regarder dans les yeux, lui dire à quel point il lui avait manqué. Non, il ne pouvait pas aller lui dire qu’il avait eu tellement mal lors de sa disparition qu’il avait eu l’impression qu’il allait en crever. Il ne pouvait pas lui dire tout ça parce qu’il avait trop honte. Il avait osé pensé qu’il était mort. Il avait suffit de six mois pour que toute sa détermination et son espoir s’envolent en fumée, sous prétexte qu’il avait disparu depuis longtemps. Le jeune homme avait honte de tout cela et appréhendait ses retrouvailles avec Luan. Au début, ça avait été difficile de ne pas aller le voir et le serrer contre lui, pour vérifier que c’était bien lui, en chair et en os. Il avait été tellement heureux et soulagé par son retour .. Mais il se disait que son .. Ami aurait peut-être une réaction négative s’il apprenait qu’il avait osé ne plus croire en son retour. Alors, il repoussait l’échéance, sachant qu’il ne pourrait pas l’éviter éternellement. Sa mère soupira, ne prenant même pas la peine d’entamer une autre conversation à ce sujet. Ils en avaient déjà tellement parlé depuis le retour de Luan qu’elle avait arrêté d’essayer de le convaincre. Sans dire un mot, le lycéen monta dans sa chambre et s’allongea sur son lit avec comme seul occupation ses pensées, qui le ramenaient encore et toujours vers lui.